Thursday 20 October 2011

Une erreur fatale et évitable

Innocent mistake costs teen his life, est le titre d’un éditorial publié le 18 septembre 2011. Il parle du décès, d’un jeune adolescent, Harry Cohen, qui s’est passé le 29 août 2011. C’était une mort innocent et accidentelle. Harry qui était malade a consomme les médicaments de sa grand-mère. Harry croyait que les médicaments de la douleur de sa grand-mère pouvaient soulager sa propre douleur. Selon l`article, le cas d`Harry n`est pas isolé. Plusieurs personnes consomment les médicaments prescrits a d`autres personnes lorsqu`ils estiment avoir les mêmes douleurs. Il en résulte comme pour le cas d`Harry des complications de santé pouvant causer la mort. Es-ce que l’innocence et manque de connaissance, envers les dangers que posent les médicaments prescrits, sont des facteurs quoi contribuent négativement à l’issue? C’est la tache des parents d’informer leurs enfants par rapport à ce danger et c’est aux adolescents de chercher de l’aide lorsque c’est nécessaire.


D’abord, je trouve que les parents sont partiellement responsables des morts d’adolescents, causées per le surdosage de médicaments prescrits. Je trouve que c’est leur responsabilité, entant que parents, d’informer leurs enfants des dangers de médicaments que ne leur sont pas prescrits. « Une personne ne peut mettre les lunettes à quelqu’un d’autre et s’attendre à ce qu’il voit clairement. » est l’exemple concret fourni par l’auteur et il a tout à fait raison, sauf que les médicaments prescrits peuvent avoir des conséquences plus sévères, même fatals. Entre les années 1999 et 2004, le pourcentage de surdosage avec des médicaments prescrits a augmenté de 113.3 pourcent chez les jeunes de 15 à 25 ans. C’est aussi la cause de mortalité la deuxième plus commune aux États-Unis. Ce n’est pas nécessairement évident ou distinguable de savoir qui  tentera sa chance avec les médicaments. Par exemple, Harry Cohen était populaire avec un futur promettant au collège. « Rien ne pouvait effacer le sourire de son visage.» a dit un de ses collègues après sa dernière joute de football. C’est pour ces raisons-ci que c’était un choque lorsque les parents ont reçu le rapport de toxicologie les informant de l’erreur fatale de leur fils. Le rapport révèlent que Harry avait pris une, peut-être même deux pilules prescrites à grand-mère. Le corps de Harry était mince, musclé, avec peu de gras.  Pour ces raisons la, ses organes ont été forcé à absorber les médicaments, ayant donc un effet mortel sur son corps. Je suis d’avis que c’est important d’être instruit puisque  la vie est trop courte pour la perdre en raison d’une erreur comme celle-ci.


Avant tout, les adolescents devraient chercher de l’aide lorsqu’il est nécessaire. Demander pour de l’aide pourrait être difficile ou même décourageant pour certains individus. C’est à l’adolescence que nous voulons être plus autonomes et être capable de prendre nos propres décisions. Nous voulons exercer nos droits et d’être reconnus comme des adultes. À mon avis, c’est peu à sacrifier pour assurer ma sante et ma sécurité. Harry Cohen était en douleur après avoir couru 28 fois une distance de 241 mètres et d’avoir lancé la balle à une distance de 107 mètres.  Par contre, « Il n’était pas une personne à se plaindre. » a dit sont beau-père. Harry ne cherchait pas de la sympathie mais plutôt quelque chose pour lui enlever de sa douleur. Je trouve que ce sont les temps de désespoir et de souffrance qui sont les moments les plus appropriés pour demander de l’aide. Le choix que fait une personne à un moment de grande souffrance n’est pas nécessairement le meilleur. Mais, Harry a prit les pilules destinées à sa grand-mère, espérant qu’elles diminueraient son mal. Mais, elles ont fait beaucoup plus que cela. Je crois ce c’est important de connaître ses limites et de savoir quand c’est le temps d’arrêter et de demander  de l’aide.


Pour conclure, je suis toujours en accord avec l’auteur. Ce qui est arrivé à Harry Cohen est une erreur innocente qui l’a amené à sa mort. Il y a eu plusieurs morts inutiles liées au surdosage de médicaments prescrits. Elles auraient pu être évitées. Connaître ses limites, demander de l’aide et être mieux instruit auraient pu sauver la vie d’Harry. Ce sont les éléments clés qui doivent êtres enseignée aux adolescents face aux situations difficiles. Après tout, la vie est trop courte pour  la perdre en raison d’incidents évitables.

Tuesday 11 October 2011

Analyse du texte argumentatif à Jaimee Monpetit


Le texte argumentatif de Jaimee Monpetit, « Mère poursuit ses enfants pour 750 dollars par mois », est un texte portant sur un sujet auto explicatif, si l’on fait référence au titre. Une mère poursuit ses enfants au tribunal. Le titre informe bien le lecteur du sujet qui sera abordé par contre, je ne trouve pas qu’il capte l’attention d’un lecteur. D’après moi il est trop long. L’auteure aurait pu raccourcir sont titre et faire en sorte qu’il saute aux yeux du lecteur, par exemple avec un jeu de mot.


Au premier abord, Jaimee amène sont sujet en expliquant brièvement la situation. Une femme de 73 ans, cherche à poursuivre ses enfants au tribunal afin de recevoir 750 dollars, comme somme mensuelle, de chacun d’entre eux. L’argent payera pour des frais médicaux puisque Shirley Anderson, la mère, n’est pas capable de les payer toute seule. Elle utilisera la loi de la relation de famille, crée en 1922 pour  les poursuivre. Par contre, les enfants abandonnés à un jeune âge sont maintenant adultes et refusent de payer la somme. Ils ne veulent pas être responsables de quelqu’un qui n’était pas présent dans leur vie. Suite à sa brève aperçue sur la situation, l’auteure pose la question suivante : « Es-ce que la loi devrait encore exister? » Après avoir posé cette question, je m’attendais à ce qu’elle répond et partage son opinion à ce sujet.  Mais, elle n’a fait que mettre une opinion sous-entendue à la fin de l’introduction ex : les enfants de Shirley vont contre elle au tribunal pour se battre contre cette injustice. J’ai compris que l’auteure suggère la loi comme étant injuste. En plus, moi, le lecteur, je n’a aucune idée des arguments qui seront défendus, ni de l’opinion de l’auteure. Le sujet divisé n’est pas présent. De plus, la thèse est sous- entendue et j’ai compris qu’elle est la suivante : la loi de la relation de famille est une loi injuste et devrait cesser d’exister.


Au deuxième abord, Jaimee continue sont texte au développement, avec un argument qui est présenter comme étant un fait. C’est une opinion très sous-entendue, qui est seulement présentée vers la fin du paragraphe. L’auteure ne partage rien au sujet de ce qu’elle désir prouver.  Le paragraphe contient  des faits, ex : la loi de relation de famille a été crée en 1922. Il y a aussi une citation des critiques de la législation : « Ils doivent changer la loi. On ne peut pas avoir des parents continuellement allé en court. La loi va être abusée. » C’est grâce à cette citation seul, et une opinion sous entendue, que j’ai pu deviner l’opinion de l’auteure comme étant contre la loi. Pourtant, je suis encore incertaine de son opinion, et de ce qu’elle désir expliquer car ce n’est pas mentionné. D’après moi, le lecteur ne devrait pas être obligé de deviner l’opinion de l’auteure. Cette dernière devrait être clairement écrite et prouvée. Jaimee continue sont texte avec un deuxième paragraphe. Elle commence en partageant un autre argument sous-entendue. Ses arguments sont, encore une fois, présentés comme étant un fait. Un argument devrait être clairement partagé et pas écrit comme un fait, afin de ne pas confondre le lecteur en ce qui est un fait et ce qui est une opinion.


Au troisième abord, la conclusion est incomplète. Elle manque des éléments clés qui devraient y être retrouvés. L’auteure ne mentionne aucune thèse, et partage des opinions qui, d’après moi, n’a pas grand rapport à ce quelle devrait être en train de prouver. Jaimee n’a, encore une fois, pas dit ce qu’elle cherche à débattre. La seule information que m’a donnée la conclusion est ce que ressent l’auteure envers Shirley entant qu’individu. Elle dit : « Shirley doit être arrêtée et punit pour ses actions. » Cette opinion suggère que la situation est la faute de Shirley. Par contre, dans l’introduction et dans le développement, Jaimee propose que c’est la faute de la loi et se demande si elle devrait cesser d’exister. Ceci vient contredire ce qu’elle semble chercher à prouver et change le sujet.


Quant à moi, le texte n’a pas été bien argumenté et il manque des clarifications, ex : devrait employer « à mon avis » et « d’après moi » lorsqu’elle présente son opinion. Il manque aussi des éléments clés par exemple, un sujet divisé. C’est mal structuré. Les arguments sont mélangés et ne sont pas spécifiés. Il y avait aussi beaucoup d’erreurs de grammaire. Néanmoins, le texte était encore lisible et porte sur un bon sujet.  


Pour conclure, le texte était assez bien rédigé. Il y avait plusieurs erreurs grammaticales, dont certaines auraient pu êtres évités avec un peu plus d’attention. Certaines erreurs ont rendu la lecture incompréhensible pour déterminer le sens de la phrase. Le tout parait avoir été écrit vite et avec peu d’attention. Par contre, c’est évident que Jaimee a fait sa recherche. Elle apporte des faits et une citation. Je crois qu’elle devra, à l’avenir, consacrer plus temps  lors de la composition de sont texte. Elle devrait aussi porter une grande attention sur la clarté du texte et d’assurer la présence des éléments clés.